La Dépêche du Bassin du 20 janvier 2022



La Dépêche du Bassin du 23/12/2021



Sud Ouest du 25 Janvier 2021

 


La Dépêche du Bassin du 14 Janvier 2020

 

Merci pour ce relais médiatique suite à notre appel aux Intercommunalités pour une réponse collective à l'Appel à Manifestation d'Intérêt à venir.
On vous explique tout ici


Revue de presse

suite à "la pelle du 18 juin"

 

Médias papier et internet :

- La Dépêche du Bassin (18/06/2020) (photo ci-contre)

- 20minutes (18/06/2020)

- InfoBassin (17/06/2020)

 

Blogs :

- Aurore Market (19/06/2020)

 

- HeadTopics (18/06/2020)  

 

 

En attente du montage des séquences tournées par TVBA.

En attente d'un article publié dimanche ou lundi dans le journal Sud Ouest.

Et la Dépêche du Bassin a annoncé la sortie d'un article plus détaillé dans sa version papier de la semaine prochaine.

 


"Mieux manger à l'école"

(article Sud-Ouest publié le 18/05/2016)

 

 

Le collectif Aliment-Terre promeut un projet alimentaire territorial pour plus de bio et de circuits courts en agriculture et dans la restauration scolaire.

 

 

L'initiative est partie de parents d'élèves désireux d'une plus grande qualité de restauration scolaire pour leurs enfants. Rejoints en fin d'année dernière par des professionnels de la santé, des agronomes et des agriculteurs, ils ont créé le collectif AlimentTerre

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Passage dans l'émission Le téléphone sonne sur "Les cantines scolaires"

(France Inter, 6 avril 2016)

Réécouter le podcast

 

Invités :

Alexandra Cordebard Adjointe à la Maire de Paris en charge des affaires scolaires

Benoit Drillon Directeur Général d'Elior Enseignement

Olivier Andrault Chargé de mission " agriculture et alimentation "à l'UFC Que Choisir

 

Intervention de Jean-Marc, l'un des membres actif du Collectif Aliment-Terre, qui a eu la chance d'être sélectionné pour intervenir sur France Inter.

 

Retranscription partielle

 

Michael Thébault  : Jean-Marc nous appelle de Gironde, soyez le bienvenu.

 

Jean-Marc : Bonsoir à tous, bonsoir France Inter, merci pour vos émissions.

 

Michael Thébault  : On vous en prie, on vous écoute

 

Jean-Marc : Mes enfants sont nourris par Elior à midi, et je peux prendre un peu la suite de Noé (premier auditeur, 11 ans), ils sont question poisson nourris entre autres avec du Hoki Pacifique sud alors que là on est à quelques kilomètres de la criée d’Arcachon. En local on a un peu de mal pour faire bouger les choses au niveau cantines pour une alimentation plus saine et locale. A part exceptions, les municipalités sont quand même très réticentes et délèguent la restauration scolaire.

 

C’est pourquoi les parents d’élèves, les Amap, les médecins du secteur ont lancé un  Projet Alimentaire Territorial sur le Bassin d’Arcachon pour relocaliser l’agriculture afin de mieux nourrir les enfants.

Les études et publications  prouvent de plus en plus précisément l’impact direct  de l’agrochimie sur la santé , j’ai une question pour Mr Drillon, sachant qu’Elior a été le restaurateur officiel de la COP21.

Quels moyens met en oeuvre Elior pour réduire fortement les pesticides, conservateurs et autres poisons dans l'alimentation de nos enfants ?

 

 

 

Michael Thébault  : pourquoi ne pas favoriser effectivement tel producteur local ? C’est une histoire  de prix ?

 

Mr Drillon : Ce n’est pas une histoire de prix, absolument pas, bien au contraire.  Nous cherchons à développer les producteurs locaux et nous cherchons à nous associer au plus de producteurs locaux possibles. Un chiffre peut-être juste pour éclairer mon propos : 11.000 producteurs locaux sont référencés chez Elior et nous travaillons avec  ces producteurs-là. S’agissant du poisson par contre pour répondre à la question directe de monsieur. C’est vrai que s’agissant  du poisson, la filière poisson est une filière qui est très très compliquée, parce que les approvisionnements sont de plus en plus difficiles, et même si on est à Arcachon, c’est très difficile de pouvoir trouver en quantité suffisante, parce qu’il ne s’agit pas de trouver un poisson ou un filet, il s’agit de trouver une quantité plus ou moins importante mais qui peut atteindre 500, 1000 ou plus et donc le producteur local n’a pas forcément, systématiquement la capacité de pouvoir nous livrer, donc on est obligés de mettre en place des filières différentes mais systématiquement en  contrôlant.

Michael  Thébaud   : mais est ce que le réflexe est d’abord de privilégier le local ou c’est plutôt l’approvisionnement , il nous faut telle quantité de poisson ou de viande de bœuf, on va aller vers le plus offrant, celui qui peut nous apporter cette quantité sans privilégier le local ?

 

Mr Drillon : Nous sommes dans une recherche d’équilibre entre la nécessité de livrer une quantité importante de repas, c’est vrai, c’est notre métier, et en même temps dans cette ambition de travailler au plus près des lieux de consommation, donc nous avançons en fait  sur des cercles concentriques, car on cherche d’abord dans un rayon de 5km, puis dans un rayon de 10, puis de 20 etc. etc. et en fonction on adopte le meilleur choix.

 

Olivier Andrault : je crois qu’il y a un facteur qui a été évoqué par notre auditeur Jean-Marc et sur lequel il faut revenir, c’est le coût…..